• <<L'important ce n'est pas tellement d'avoir des souvenirs, c'est toujours de régler ses comptes avec eux.>>

    On m'a dit cela il n'y a pas très longtemps lorsque j'évoquais ma vision des choses sur la nostalgie et tout son champ lexical. Je disais que je n'aimais pas ceux qui négliger le présent pour embellir leurs  passé,donc leurs souvenirs, donc leurs nostalgies. Tout comme je n'aime pas les discours :" avant c'était bien mieux" . Non ! Avant c'était différent, à la rigeur on peu dire :" je préfèrais avant " .

    Un deuxième interlocuteur m'a demandé :

    - Quel souvenirs peut-on avoir à 17 ans ?

    Peut-être voulait-il dire : quel souvenir PROFOND, peut-on avoir à 17 ?

    Les souvenirs doivent dépendre des personnes je suppose , mais du moment qu'on a vécu, on peut bien dire qu'on a des souvenirs, non ?

    Après certain disent : Il faut être jeune pour savoir vivre sans nostalgie. Plus tard, on se raccroche à toutes sortes de sentiments : des bons, des mauvais. A ce qui n'est pas très sain. Un renouveau.

    C'est là que je trouve la vie pathétique , la plupart passent leurs jeunesse à ce dire : Plus tard je ferais ceci ou cela . Et une fois que la jeunesse nous quitte et qu'on est alors répértorié dans la classification de "vieux" on ce dit: " je me souviens bien quand j'étais jeune ...Il y avait ceci et cela" .

    C'est pathétique. Penser à plus tard c'est un moyen de ne pas se confronter à la réaliter (je trouve ),penser à avant, c'est encore un moyen de ne pas se confronter à la réaliter .

    Je me demande pourquoi d'ailleurs . Peut-être que la réalité est une grosse brute ? Ou parce que il est plaisant de révasser de "plus tard " et de "avant" .

     

    - Tout dépend de ton passé, on peu avoir des souvenirs très simple : manger une glace au bord de la mer , les quatre cent coups fait à l'école etc.

    Enfin nous avons des points de vue assez différents, une personne soutenant qu'un(e) adolescent(e) ne peut pas avoir de souvenir ou éprouver de la nostalgie.

    Un autre disant que les souvenirs sont utiles et bénéfique tant qu'on est en accord avec .

    Et moi ,je ne sais pas trop mon point de vue là dessus, je sais que je ne suis pas d'accord avec celui qui dit que la jeunesse ne peu pas éprouver de la nostalgie . Quant à la deuxième personne ,je ne vois pas de soucis , je me demande juste comment on peu être  en désacord avec des souvenirs . Peut-être voulait-il dire : accepter les choses qui se sont passé . En fait  j'en sais fichtre rien,quoi que la seule chose que je sais c'est :" Tant que le coeur conserve des souvenirs, l'esprit garde des illusions."

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    Tain, je suis en train de me dire que les petite filles aiment les poupées .Les petits garçons aiment les soldats. Les grandes filles aiment les soldats .Les grands garçons aiment les poupées.


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  • Le problème ce sont les apparences . Toujours les apparences, tout le temps les apparences . Tout le monde est dans les apparences ?

    Parfois j'aimerai que tout soit facile ,léger ,que les choses m'aspirent et me fassent par de tous leurs savoirs.

    Que les relations soit naturel, que tout s'emboîte et créer une sphère d'harmonie totale.

    Je me demande pourquoi les choses ne sont pas ainsi , pourquoi tout n'est pas si simple . Je crois que la simplicité déplait, les choses simples ennuient ,la confrontation le malheur ,détruise la routine qu'est la simplicité ...

    J'ai l'impression de vivre dans un monde de papier, tout est fragile et délicat, un mot mal employé et c'est le papier qui ce froisse . Il faut faire attention ou l'on met les pieds,ce faire discret .

    Dans ce monde de papier la population vomis des flots de mots inutile et hasardeux .

    Après tout peut être que:

    le langage n'exprime pas tout de l'homme. La pensée verbale n'est peut-être pas la forme essentielle et ultime de l'intelligence humaine .

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  •  

    - Et vous ? Pensez vous être assez audacieuse pour aimer ?

    - Aimer quoi ?

    - La question n'est pas de savoir "aimer quoi" mais "aimer qui " .

    - Aimer qui alors ? Un garçon? Une fille ?

    - Pas que . Je vous parle de l'amour  ou on peu aimer tout le monde et tout le monde est sujet à vous aimer .

    - Je ne saisi pas .

    - Aimez vous la Terre? Le marchand d'à côté , votre chat, l'air, le ciel, l'art, votre ennemie, votre professeur ,votre patron ?

    - Je ne suis pas sur d'épprouver de l'amour pour tout ça .

    - Alors vous êtes d'une faiblesse d'esprit remarquable .

    Et nos coutûmes divergent inlassablement, terriblement, je crois que le noir ce referme sur moi:

    - Avance, avance,avance . Me dit ma petite voix ,tandis que sous la pénombre je lui répond : Comment ? Ou?

    L'abscence de lumière créer les déchirures moral et sentimentale . Le noir pénètre l'âme échoeuré,et transforme peu à peu ce qu'on est en ce qu'on ne devrait pas être.

    Et soudain , de la pénombre et de la lumière, naît le brouillard , pas terrible mais pas si mal. Etrangement , l'homme ce plaît à rire .Des autres . Il se rend compte que le monde est un provoquement au sarcasme . Noirceur d'esprit, raillerie, rancune, tout cela naît des abymes qui se sont construits dans son coeur meurtri.

     

    - Aimez!

    - Non!

    - Je vous le dit et vous le redit...Aimez!

    - Et moi je le redis de nouveau: Non!

    - AIMEZ!AIMEZ! Maintenant et tout de suite, la noirceur peu s'estomper avec l'amour alors aimer TOUT ! Tout le  monde :

    La terre, votre marchand, le ciel, les étoiles,votre soeur, votre chat,vos professeurs, votre patron . Aimez.

    - J'aimerai mais je ne peu pas...

    - Vous ne voulez pas donc vous ne pouvais pas , nuance .

    - Mais...

    - Silence ,maintenant réveillez-vous et aimez!

    Le réveil rettenti , le cadran de mon portable indique 7h13 . Drôle de rève .

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  • Encore une pensée inutile.

    La punition colléctive. Je n'ai jamais vraiment compris l'intéret . Je veut dire ,en soi , à quoi ça sert ?

    A rebooster ,l'orgueuil ,l'égo des profs :<< Ha je n'ai pas réussit à attrapé le petit salaud qui m'a fait ce coup, je vais punir toute la classe pour être sur que le concernée paie>>.

    Ma fois oui, pourquoi pas . Je me demande pourquoi la police ne fait pas pareil , j'imagine bien:

    - Mais ce n'est pas moi Monsieur l'agent qui ai tiré sur Mr.Brochant, je promenais juste mon chien dans le secteur, je vous jure que je n'ai rien entendue.

    - Rien à faire. Comme je ne peu pas être sur que vous me dîte la vérité, tout ceux qui étaient dans le "secteur " de la scène de crime paieront autant que le vrai tueur. Pas de risque comme ça .

    Mais la police ne fait pas ça, pourquoi ? Je crois que ...Nmmh, ha oui c'est purement et rationnellement interdit à cause (ou grace ? ) à la présomption d'innocence .

    La présomption d'innocence :

    « Article 11. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
    Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis. »

    Alors oui, les punitions collectives ça me fait beaucoup rire . Déjà se dire qu'en soi, l'école , ne respecte pas vraiment la loi ( je dis "pas vraiment", car on ne peu pas comparé ...) , je trouve que c'est une belle preuve d'incohérence . C'est vrai, l'école, l'endroit fabuleux (sans ironie) ou on nous apprends en partie les règles socials, la vie en communauté , qu'il faut respecter la loi (pour bien finir, n'est pas foutu de la respecter elle même .

    Tout à l'heure alors que nous étions en cours de projet d'art appliqué, la porte a raisonner par trois fois .

    Mme.Soderbergh de sa petite taille arrivant tout de même à nous prendre de haut,est entré dans la salle un air légérement sournois au visage et à dit:

    - Bonjour, sortez vos carnets de correspondance .

    La docilité des élèves (et de moi même ) me fascinera toujours.

    Et ce qui me fascinera toujours plus , c'est l'hypocrisie des professeurs entre eux. La prof d'art applique, que nous appeleront...Mme.Bufo ,lever les yeux au ciel ,vraiment exsaspéré ,je masque un rire par une quinte de toux. Dieu merci.

    Mme.Sorderbergh dicte:

    - Jeudi 31 Mars 2011 , Mme.Soderbergh, sera absente en raison d'une formation. A la place, l'emploie du temps sera modifié de la façon suivante: Les élèves seront libéré de 10h à12h le groupe B aura PAA illustration, de 15h à 17h30.Une salle sera oiuverte pour que les élèves puissent faire leurs travails du vendredi .

    Il y a un léger, tout léger silence . Elle a un sourire en coin qui exprime toute la satisfaction du monde . Non vraiment,on dirait que nos visages éttonné la comble de bonheur .Ma fois .

    Je ne comprends pas pourquoi on va dans une salle ,alors qu'on devrait être libéré, comme on fait d'habitude. Mais soudain ça me revient: Il y a eu un Jeudi,ou nous n'avons pas du tout eu cours, la prof principale s'était arranger pour . Mais des crétins , dix crétins, on fait sauté les cours,pour un voir un long week-end. Bien sur on s'était fait disputer,mais je ne me sentais pas concernée ,étant donner que je ne 'étais pas partie.

    -Mais Madame...A fait un élève .

    Le sourire de complaisance de Mme.Soderbergh s'agrandit,et elle déclare d'une voix fluette :

    - Rappelez-vous,vous aveau eu un Jeudi de libre,il y en a qui en on prifité pour ne pas venir . Il y en a qui n'ont pas voulu joué le jeu...Donc voilà les conséquences.

    Je me retourne vers-elle et lui dit:

    - Et il y en a qui l'ont joué, votre jeux Madame .

    Elle pice des lèvres,si fort, que je me demande par qu'elle miracle elle ne se tord pas de douleur . Je ne lui parle pas spécialement méchamment, après tout je peu comprendre ça réaction ,elle avait tout bien préparé ,tout bien organiser,pour pas qu'on viennent le Jeudi pour une heure de cours, elle avait elle même fait l'emploie du temps (joliment décoré ) , bref on sentait que ça lui tenait à coeur . Et le vendredi la quasi totalité de la classe fait "pété".

    Mais je n'approuve pas la punition collective! Dans une autre réalité envisageable, si j'avais alors été de très mauvaise humeur,je lui aurait dit:

    - Je n'approuve pas la punition colléctive Madame, c'est un peu,imaginer:

    Mme.La directrice vous autorise à ne pas venir travailler le jeudi, mais vous présence est obligatoire le vendredi bien sur . Vos collègues ne viennent pas le vendredi , qui aurait crût la prof de math aller si lâchement sécher les "cours"? La prof de Français, d'histoire de l'art, de projet d'art appliqué, tous ne vienennt pas (ou presque ).Mais vous, vous venez ,ravis de la confiance que vous accorde Mme.La directrice . Et puis cette dernière apprends le nombre vértigineux d'absents,elle vous sérmone bien sur, mais vous ne le prenez pas pour vous: Teh! Après tout, vous étiez là vous, fidèle à votre boulot sans faire de chichi.

    La vie continue, et la fin du mois arrive , vous resevez votre salaire, et il vous manque 300€. Vous allez voir Mme.La directrice pour lui signaler cette erreur de comptabilité, et elle vous dira:

    - Vous avez eu un jeudi de libre, il y en a qui sont partit, il y en a qui n'ont pas voulu jouer le jeu ...

    Et vous lui répondrez :

    - Il y en a qui l'ont joué Madame.

    Et notre directrice haussera les épaules comme si l'innocence des gens ne la concernais pas le moins du monde .

    Je crois que j'aurai dût lui faire la remarque ...

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  • Petite pensée du jour ,toujours aussi inutile que d'habitude .

    Je me demande pourquoi l'humour noir n'est pas bien vue . Certes au premier abord ça ne parait pas très gentil, mais ça reste de l'humour. Moi je trouve que c'est un moyen qui rend la vision des choses, en général horrible, plaisante .

    En parlant des gens qui n'aiment pas l'humour noir ,pas plus tard que Vendredi dernier,alors que le bras droit de Mme.Soderbergh ,que nous appelleront: Mme.Baker , a dit:

    - Si il t'entendait ,il se retournerait dans sa tombe...

    Ce à quoi j'ai répondût :

    -.  Un incinéré ne peut pas se retourner dans sa tombe, Madame.

    Ma remarque a sans doute amusé quelques un de mes camarades, mais Mme.Baker n'a pas du tout apprécié:

    - Hé ho, faut ce calmer

    - Non mais je plaisante Madame .

    - Oui mais quand tu plaisante, c'est toujours négatif, toujours noir , et en plus tu le dit toujours avec sérieux. Tu as l'humour trop sérieux et trop négatif

    Je n'apprécie pas tellement Mme.Baker, et je n'ai pas hésité à lui dire:

    - Quand on dit que quelqu'un à l'humour sérieux, on dit qu'il est pince sans rire, et oui c'est vrai, j'ai un humour noir.

    Elle a une réaction très désagréable, elle prend les gens de ma classe à témoins:

    - Mais vous, vous arrivez à vous y faire ?

    - Oh oui. On dit mes camarades ( sans doute râvi à l'idée de lui faire du tord )

    Mme.Baker grimace:

    - Il faut savoir qu'on ne peu pas rire de tout jeune fille .

    Sa aurait dût être le mot de la fin ,le mot qui aurait mis un therme à notre échange, mais mon étérnel insolence à crût bon de citer Pierre Desproges:

    - On peu rire de tout mais pas avec n'importe qui Mme.Baker.

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