• Biographie de l'Ombre intérieur [ Chapitre 4 ]

     

    Chapitre 4


    Le commandant Thomas Jaschin cogna furieusement sur la porte de son bureau . En colère il donna un coup de pied dans sa corbeille à papier . Il avait horreur de ne pas trouver les meurtriers , son stagiaire avait raison , la chance n'existait pas et encore moins pour les abrutis dans son genre . Il tournait en rond . Il ne trouvait rien sur l'affaire du peintre meurtrier [ répétition ] . Mais si ce n'était que ça .Il est vrai qu'il lui arrivait de ne pas réussir à résoudre des enquètes. Mais là , il était hors de question qu'il ne trouve pas le coupable . Pourquoi ? Parce que le meurtrier était un adepte de la peinture , un partisan du body art . Et il n'avait rien de plus qu'il détestait que la peinture ,et parmi tout les mouvements picturaux qu'il existait , le Body Art était le plus obscène .
    Il serra le poing avec rage, si il réussissait à l'arrêter , il arriverai sans doute à dénoncer la peinture et l'atrocité qui l'entourait .
    Thomas faisait les cent pas . Mais comment retrouvé quelqu'un qui n'avait laisser aucune trace ? Même les plus grands criminels laisser un petit indice . [ Ouuups , penser que dans le chap 1 Thomas frappe à la porte avec des gants, il devrait obligatoirement être indiquer qu'il a mit des gants !!! ] .  Thomas Jaschin se rassit, mordant inlassablement ses lèvres, qui bientôt prirent une teinte pourpre . Etait-il le seul être censé dans toute cette histoire ? Etait-il le seul à voir la réalité des choses ? Mon dieu mais qu'il trouvait les morts peint ,laid .
    Et pourtant de nombreuses demandes étaient faites pour voir les cadavres.
    - Vous n'avez pas le droit de garder des oeuvres d'art pour vous , fait en une enchère , une exposition. Avait crier un homme dans un long râle sibilant .
    Une vieille femme avait maugrer en implorant le paraclet :
    -  L'art est en relation avec Dieu . Les défunts sont des oeuvres d'art . Donc les défunts sont en relation avec dieu ( changer cette phrase merdique )
    En entendant ça Thomas avait soupiré ,  voilà que le sophisme entrait en scène . Mais si il n'y avait eu que deux fous encore, qui étaient venu ce plaindre et exiger le droit de voir les corps . Mais non , ils avaient étaient une petite centaine , et les chiffres grimpaient de jour en jour . Hier encore trois avocats étaient venue réclamé de manière peut déontologique l'exposition des morts . Ils ont même menacer de mettre en place une pétition.
    - Le monde perd la tête soupira Thomas .
    - Pas tant que ça en fait. Il faut comprendre les gens : tout ce qui est relatif à l'art leurs semblent fade . Rien ne réussit à les surprendre. Donc la mort de corps peint peu leur semblaient très insolite ou innovateur . Et puis ce qui plait tant au peuple c'est l'interdit
    Thomas observa étrangement son stagiaire qui venait d'arriver  ,ce dernier repris :
    Si on leurs autorise à voir ce qu'ils veulent , dans un laps de temps ils en seront satisfait et après ils seront comme des enfants : trop vite lasser par leurs cadeaux de noël .
    - Mais ce serai de la folie , une folie pur. Murmura le commandant en éffilochant une mèche de cheveux.
    - Une fois de plus  ,je ne suis pas d'accord avec vous mr.Jashin , des expositions de cadavre chinois ont bien eu lieu , quel changement ?
    Thomas inspira très longuement, essayant de ne pas perdre patience face au ton suffisant qu'employer Jérome .
    - Le changement est que là, il ne s'agis pas de mort naturel , mais de meurtre... Et de peinture.
    Il avait murmura les trois dernière syllabes.
    Son stagiaire ce mis soudainement à ronger ses ongles, avec un panache anxiogène .
    Le vent souffla et fit vibrer les fênètres tandis, qu'un froid hivernale emplit la pièce avec violence . Une violence qui fit eternuer par trois fois  le commandant Thomas Jaschin qui s'empressa de prendre un mouchoir .
    - Pourquoi n'aimez-vous pas la peinture ?
    Question cruciale,oui encore. Question qui fit perdre le teint brillant qu'avait Thomas . L'impact de la phrase ,contraint le commandant à se replonger dans de vieux souvenirs . Des souvenirs qu'il avait enfouie au plus profond de lui ,qu'il avait enfermer et dont la clef avait mystérieusement disparut . Mais soudain, la porte se rouvra , les souvenirs étaient énervé  de toutes ses années de dur labeur enfermer et oublier par celui qui les avaient vécu .
    La colère était grande , cette ancienne mémoire se propagea dans la tête de Thomas , qui tant bien que mal, lutter contre l'envahisseur . Sa faculté de resistance mentale, céda lamentablement , un echec qui lui mis les larmes aux yeux .

    Le plus ignoble dans la peinture  c'est le peintre . L'être abjecte qui dès l'âchat de la toile blanche, pense à un plan machiavelique pour escroquer les honnêtes gens . Prétendant haut et fort , faire de l'art . Les personnes sensible achèteront une dès toiles, attendri par le mot "art" qui dans leurs tête n'est qu'un mot vague mais dont la consonnence peu faire réver .
    Le peintre était pour Thomas Jaschin rien de plus qu'un marchand de rève . Il n'y a qu'a voir René Magritte avec sa citation " ceci n'est pas une pipe" . C'est d'une escrocrie sans pareil, quoi que très brillant! N'importe quel individu, ce dira " ce n'est pas une pipe, mais qu'est-ce alors ?" L'individu regardera la pipe avec attention , restera perplexe et finira même par apprécié .
    En colère, il était en colère contre la peinture .

    - Je ...Je vais vous laissez un petit instant. Déclara Jérome sans doute gêner par le silence pesant du Commandant.
    Thomas n'entendis même pas la porte ce fermer.

    Il fut un temps ou la vie de ce cher policier était qualifier d'heureuse . Le quartier entier envier sa femme,Marie , pour sa beauté sa prestence et son savoir vivre. Ha sa oui, sa femme ce n'était pas n'importe qui: son père fut assassinez par un beau jour de printemps, une balle entre les deux yeux , l'assassin avait été d'une précision remarquable. Suite à cela, sa mère-femme  au foyer et sans diplome- ce retrouva à la rue, les amis qu'elle avait crut avoir lui avait tourner le dos , mais pas de quoi s'alarmer au printemps le climat est tout à fait supportable ( ...S'thorrible s'que j'dit ). Quelques temps plus tard, alors que la mère et la fille mendiait tant bien que mal , un avocat élégament vétue s'arrêta à leurs vision, il scruta la mère, l'imagina propre et bien habillé et lui dit :
    - Comment vous appelez vous ?
    La mère de Marie ce senti soudain re exister , l'homme ne l'avait pas tutoier et elle avait bénéficier d'un "vous" qui aurait rendue jaloux un  politicien.[changer fin de phrase ]
    Voyant que la femme tardait à répondre, l'Avocat lui dit avec sincerité:

    - Je suis tombé sous votre charme , quittez la rue vous et votre fille et venez vous installez chez moi.
    La mère ne ce fie pas prier, pas méfiante pour un sous , elle prit son enfant par la main, et suivi l'Avocat.
    Le beau père de Marie , vivez dans une maison luxeuse, pas trop kitsch et relativement harmonieuse.
    Jusque là tout allé bien, la mère et la fille furent tiré de la misère dans laquel elles avaient été.


    Marie rencontra le commandant Thomas Jaschin ,quoi que pas encore dans la police à l'époque . Ensemble ils vécurent heureux, ils n'eurent pas d'enfant mais pas d'ennuie non plus , ils se sont marié, ont eu de grands projets.
    Marie était professeur d'art moderne aux beaux arts ,cependant elle avouait avoir une passion profonde pour le style Baroque, qui selon elle cacher les secrets de notre histoire ( changer phrase ). Quant à Thomas, avant de s'engager dans la police, il était cuisinier ,il n'était pas le meilleur, mais très apprécié tout de même .
    Il semblerait qu'au stade de cette histoire, que la vie ne fut pas cruel pour les deux amants. Pourtant, un soir alors que Thomas rentré de son travail , il la vit , les pieds vascillant dans le vide, le tabouret à terre . Dieu seul sait combien il a tenter de la réanimer, dieu seul sait, combien de temps on mis les secours à arriver . Morte, elle était morte. C'était donc ça mourir ? Tout quitter ?D'un coup ?D'un seul?  Il ne l'accepter pas .

    Marie avait laisser un mot pour expliqué son acte :
    " Mon amour, j'ai révé que les peintres de tout les temps me parlaient, ils m'ont dit comment le monde allé ce finir , ils m'ont dit tout les mensonges de notre Histoire, ils m'ont tout dit.
    Je suis manipuler depuis que je enfant, on m'a formaté, je ne l'ai pas supporté .Je t'aime ". ( améliorer phrase) Thomas hurla de douleur, il en avait lourd sur le coeur. Il hurla qu'elle ne devait pas tant l'aimais  .
     Et puis , ce fut la déchéance. La sienne .Il changea de métier, entama une carrière dans police, comme tout bon cliché ,il sombra dans l'alcoolisme, abusa de ses pouvoirs de fonction . Cela dura un certain temps, le temps qu'il faut à un homme amoureux d'oublier. Longtemps. Le monde devenait fou pour Thomas: des criminels, des violeurs, des suicides et la peinture .
    Oui, avec un esprit comme celui du commandant, il fallait absolument un coupable à la mort de sa femme. C'était à cause de ses peintres de tout temps qu'elle s'était foutu en l'air. Il ne pouvait pas en vouloir à Rambrant ou Picasso , non seulement parce que ils étaient mort mais surtout parce que il doutait de leurs existences . Thomas trouva donc le coupable: L'art moderne et ses rammifications parallèles ( changé phrase) , l'art avait tuer sa femme, alors il tuerait la peinture . Plus qu'un homme emplie de haine, Marie laissa par son décès un homme vide et sans avenir .

    Thomas revint à la réalité, dans les locaux de Val Ray en Soie , il s'effondra sur son bureau et ce mis à pleurer,  il ne savait plus trop si ses larmes étaient du à ses souvenirs ou bien à cause du papier peint dont la couleur verte décoloré, lui laisser un gout âcre dans la bouche .



    Et oué, il y a une histoire en parrallèle avec un flic ... Mais il faut que je les recommences car j'ai bien foiré .


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