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Je ressasse toute cette histoire.
Chaque phrases prononcés.
Chaque mots plantés dans le corps.
Les secondes passent et mon mépris marque le temps d’une manière tragique
À chaque « tic », une vague de haine, à chaque « tac » un sanglot de
violence indigné.(autre photo prise pour mon book)
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(Une photo pour mon book)
J'adore cette citation. Mon amour pour Cioran n'y est peut être pas pour rien, mais je trouve cette phrase tellement juste et pertinente.
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- Le pire dans cette histoire, c'est que tu es quelqu'un d'intelligent, et tu sais pertinemment qu'il est interdit de boire dans les couloirs. Mais il faut toujours que tu te rebelle, ne respectant rien, ni le règlement intérieure, ni moi d'ailleurs.
C'est qu'elle n'avait pas l'air contente. Son teint rouge qui s'accordait avec ses chaussures en témoignait. Je me suis sentie obligée de répondre, ne serait-ce que par un soucis de vérité :
- Mais je ne suis pas en train de boire, j'ai juste la bouteille dans ma main. Il existe tout de même une différence entre les deux.
- Mais quelle insolence, tu sais que je pourrais te la prendre ta bouteille ? Tu le sais ça ?
- Vous la voulez ? Ai-je demandé en lui tendant mon coca cola zéro.
Toute cette histoire a mal fini, un combat de coq qui ne menait à rien. Mme.Teintrouge m'a emmené chez la directrice hurlant un :"et n'oublie pas l'objet de ton crime", qui désignait subtilement ma bouteille de coca. La chef de l'établissement, un peu agacée par une histoire tant inintéressante qu'ennuyante, m'a ordonné de retourner en cours et de m'excuser auprès de Mme.Teintrouge. Ce que j'ai fait, en oubliant peut-être, la deuxième partie de sa phrase.
Je n'ai pas pu m'empêcher d'illustrer cette scène.
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