• Lucifer

    - Vous venez souvent ici ?
    Me demanda l'inconnu qui venait d'apparaitre à ma hauteur. Étrange façon d'entrer en contact avec les gens, surtout dans un lieu si incongru. Malgrès tout, je réponds poliment :
    - Une fois par an, parfois plus. Et vous ?
    - Oh, moi je viens une fois par semaine, pour le cadre, je trouve cet endroit apaisant.
    L'inconnu me fait un sourire scintillant, il réajuste son noeud de cravate et me dit :
    - Vous avez l'air triste ?
    - Je le suis en effet, les histoires de cercueil sont toujours tristes et peu jolie.
    Quel homme étrange. Il agrandit son sourire, ce qui lui donne un air terriblement sympathique :
    - Triste je veux bien. Peu jolie je ne sais pas. Toutes les histoires sont jolies, elles ont leur charme, elles sont uniques, et ce qui est unique est joli vous en conviendrez ? Allez, ne vous faites pas prier vous mourez d'envie de me raconter cette histoire, et j'ai très envie de vous l'entendre dire.
    - Je ne sais pas si…. Ai-je dit un peu gêné, je ne le connaissais même pas ce monsieur. Je l'ai regardé un peu plus attentivement, il avait les cheveux gominé, un costume fait sur mesure et une petite moustache qui venait accentuer son côté élégant. Il dégageait quelque chose de réconfortant, il avait du en entendre des histoires lui. Oui, c'était un homme de confiance :
    - Si vous y tenez tant que ça, mettez vous à vos aises, car je vais commencer par le début.
    - Ne vous en faites pas je suis bien installé. Et comptez sur moi pour ne pas vous interrompre, il n'y a pas plus agaçant qu'un récit interrompu.
    J'ai pris une longue inspiration et j'ai commencé mon monologue :

    " La vie est  injuste Lucas.
    Mon père me disait souvent cela lorsque je n'étais qu'un enfant. Et en guise de réponse, j'haussais les épaules, comme pour lui  dire qu'à huit ans et demi, la seule injustice que j'eu connu dans ma vie fût celle d'être privé de dessert.
    J'ai  été élevé par un père cynique, qui n'as jamais sût voir la moindre qualité chez l'être humain. A contrario, il ne manquait jamais d'y voir un défaut.
    Je n'ai pas eu de mère, elle est morte en me mettant au monde. Je ne dirai pas qu'elle me manquait en tant que personne, après tout je ne l'ai jamais connu. En revanche, l'absence de féminin me manquait, oui.  
    J'étais donc un enfant brisé qui, pour triompher du cynisme de son père, avait dût apprendre à l'être encore plus.
    De part ce trait de caractère qui me faisait lourdement défaut, je n'ai jamais eu d'amis et mes camarades de classe m'évitaient avec soin.
    La solitude fût donc une de mes plus grande compagne, elle fût le nid de mes pensées, elle développa mon imagination. J'avais effectivement une imagination débordante, car si je n'étais pas le petit garçon auquel il était plaisant de ressembler, dans mon monde  imaginaire j'étais tantôt une vedette de cinéma, tantôt une rock star. J'ai grandi ainsi, loin de tous, loin de la chaleur humaine et de sa complexité, loin des réalités de ce monde.
     Quand vint l'adolescence, je n'eut pas la joie de batifoler avec le sexe opposé, j'étais souvent médisant quand je voyais un couple passer à ma hauteur, tant de naïveté. Aucun des amants que je croisais sur ma route semblaient se rendre compte que leurs relations allait droit dans le mur : d'ici quelques années l'homme ferait sa demande en mariage comme l'exige les conventions sociales, la femme pousserait un cri de surprise en s'empressant d'embrasser son compagnon en lui disant oui, mille fois oui.
    Le mariage aura lieu dans l'année qui suit, ils feront un voyage de noce qu'ils qualifieront d'inoubliable et qu'ils utiliseront à titre de témoin, lors de leurs nombreuses disputes :"rappelles toi comme nous étions heureux à cette époque, et ce voyage de noce, inoubliable…."
    C'est seulement quatre ans après s'être dit oui, qu'ils réaliseront que ce n'est plus comme au début, ils se convaincront qu'ils s'aiment encore  d'une manière différente, d'un amour égoïste. Et  croyez moi, je pèse mes mots quand je dis égoïste, car la femme, en se mariant, imaginait naïvement qu'elle pourrait transformer son compagnon, tandis que ce dernier avait la bêtise de croire qu'elle ne changerait jamais. Et leurs idylle imparfaite prendrait fin sous l'oeil las d'un juge qui les déclareraient divorcés.

    C'est donc avec une vision si sombre de l'amour, que mon regard s'est posé sur Sarah. Ce n'est pas tant sa longue chevelure brune et ses grand yeux vert qui m'ont dans un premier temps charmé, ni même son sourire un peu cajoleur qui m'a fait tomber amoureux. Non, j'ai senti qu'elle était comme moi, socialement inadapté, d'un caractère mélancolique. C'était une femme ultrasensible sur laquelle la lumière crue de la vie avait laissé des traces obscures, profondes.
    Je ne la connaissais pas encore mais je l'aimais déjà, j'ai pris mon courage à deux mains et je suis allé la voir, lui demandant  si je pouvais lui offrir un café. A cet instant, je me trouvais un peu ridicule. Mais Sarah m'a sourit en me disant :" bien volontier". Nous avons beaucoup parlé, de tout, de rien, du monde, de la vie.  Nous nous sommes apparu l'un à l'autre comme une évidence, nous étions fait pour être ensemble. Ce que nous fîmes sans perdre de temps. Chaque jour passé auprès d'elle semblait être un miracle et les gens avaient toutes les raisons du monde de nous jalouser. Moi qui avait toujours vécu dans une sorte de brouillard omniprésent, ma vie était devenu une succession de matin ensoleillés. Nous avons vécu pendant huit ans ensemble, la passion était la clé de voute de notre relation, elle ne nous consumait pas et on s'aimait toujours autant. On devenait peu à peu comme tous le monde, mais à la manière dont personne ne peut devenir comme tout le monde.
     Malgrés ces huit années de vie commune, Sarah parvenait encore à me surprendre, je me souviens de la fois ou elle est rentrée de son travail en larmes disant qu'elle voulait tout quitter pour recommencer ailleurs. Je lui ait dit que j'étais d'accord, qu'on allait partir, à l'instant même si elle le désirait. Elle m'a prise au mot et on a fait nos valises, laissant le loyer du mois dans la boite au lettre de notre propriétaire, avec un mot d'excuse libellé ainsi :" pardonnez notre départ quelque peu précipité". Nous sommes allé à la gare, un peu amusé par cette décision juvénile de tout laissé tomber,  on est monté dans le premier train, réalisant que nous ne savions pas ou nous allions car l'impératif du départ semblait avoir occulté l'éventualité d'une destination.

    Nous sommes arrivé sous un soleil d'azur à Florence, en Italie. Sarah était surexcitée à l'idée de bâtir une nouvelle vie ici, et elle gesticulait de partout, s'émerveillant par avance des visites que nous allions faire :
    -  Lucas, il faudra absolument qu'on aille voir le Jardin de Boboli et le Ponte Vecchio.
    Elle avait des étoiles pleins les yeux ce qui l'a rendait encore plus charmante.
    On n'a jamais pu visiter son Jardin ou même le Ponte Vecchio, en fait nous n'avons rien visité du tout. Alors qu'elle traversait le passage piéton, Sarah s'est faite écrasé par un chauffeur ivre. La collision l'a tué sur le coup. Après un instant de stupeur et de totale incompréhension, je me suis mis à hurler  de douleur, serrant son corps inerte. J'avais véritablement mal, et un sentiment d'impuissance m'envahit. C'est impossible scandais-je, Sarah ne peut pas être morte, elle était la à l'instant, dansant sur le passage clouté. Non elle ne peu pas être morte, pas comme ça, pas maintenant,  elle avait une vie pleine de projets, de désirs même pas accomplis.

    Mon père me disait souvent quand j'étais petit, que la vie était injuste. C'est vrai, mais j'ajouterai qu'en plus d'être injuste elle est absurde. Mourir écrasé par une Citroën C3 jaune, après huit années d'amour inconditionnel. Oui, comment une relation qui atteinteignait le paroxysme de la perfection peut-il s'anéantir à cause d'un véhicule jaune ?
    Le corps de Sarah fût rapatrié en France et enterré au cimetière Montmartre.
    J'étais et demeure encore un homme mort. Chaque matin je me réveille avec cette envie de dormir, d'échapper à la réalité, de me conforter dans un sommeil lointain et paisible. La vie sans Sarah m'est insoutenable, finit les vêtements de couleurs reflet de la légèreté de l'être. Je m'habille désormais de noir, pour montrer au monde entier que je suis en deuil, en deuil de Sarah, en deuil de moi même, en deuil des enfants fantastique que nous aurions pu avoir. Je passe mes journées dans des bar à boire, non pas de l'alcool, mais du café, symbole de notre union. Et tasse après tasse je remarque qu'il y a quelque chose de commun entre le café et la chaleur humaine. L'amertume sans doute…
    Et me voilà à présent ici avec vous le jour de sa mort,  en train de vous raconter cette histoire."

    J'ai fini de parler. J'ai regardé l'inconnu au teint diaphane, il avait des allures irréelle. Son regard posé sur moi semblait non pas me regarder mais lire au plus profond de mon être. Que fait un si bel homme dans un cimetière ? Car plus je le regardais, plus je trouvais improbable qu'un homme pareil se trouve dans un tel lieu, son allure était synonyme de réussite, de triomphe financier. L'inconnu se décide enfin à dire quelque chose, son silence devenait pesant :
    - Votre histoire est-elle vraie ?
    Je l'ai regardé abasourdi et je lui ai répondu :
    - C'est donc tout ce que vous trouvez à dire ? Bien sur que mon histoire est vrai, sinon cela voudrait dire que Sarah n'a jamais existé, hors il n'y a pas plus réelle qu'elle.
    - Vous voulez  sans doute dire "avait", Sarah est morte je vous le rappelle. Ne le prenez pas mal, j'en ai entendu des histoires dans ma vie. Beaucoup étaient fictives ou idéalisées. C'est amusant de constater comme on se sent obligé  d'embellir l'histoire quand on parle de quelqu'un de mort.
    - Amusant oui. Mais je peux vous assurer que mon histoire n'est ni fictive ni idéalisée.
    C'est qu'il est vexant cet homme, à douter de ma parole. Il demeurait calme, presque amusé de mon agacement :
    - Ne vous énervez pas voyons, et puis vous n'êtes pas sans savoir que chaque fiction est un vol à la réalité.
    Vous parlez avec beaucoup trop de sensibilité pour inventer cette histoire. Il me fit un grand sourire, qui m'aurait probablement séduit si j'avais été une femme. Il a reprit :

    - Elle vous manque beaucoup Sarah ?
    - Plus que tout au monde. Ai-je répondu
    - Que fût elle réellement pour vous ?
    - Une bienfaitrice céleste, un baume prodigieux contre la solitude et les enfances brisés.
    - Oh je vois, un ange parmi les hommes ? L'inconnu sembla amusé de sa phrase et me fit un sourire de complaisance.
    - C'est un peu cliché, mais c'est exactement cela. En quoi cela vous intéresse il ?
    - Le malheur d'autrui est toujours intéressant à écouter vous savez. Et puis votre idylle est plaisante, je n'ai jamais aimé comme vous avez eu la chance d'aimer.
    - Vous êtes un type étrange, je me demande qu'elle est votre vision de l'amour.
    - Tous ce que je peux vous dire, c'est qu'il vaut mieux tomber amoureux que dans le précipice.
    - Vous vous moquez de moi ?
    - Ça ne serait pas très poli, et j'aime la politesse. J'aime également aider les personnes qui n'arrivent pas tourner la page.
    - Et comment les aidez vous ? Etes vous psychothérapeute ? Ai-je ironisé
    -  Oh, je suis bien plus compétent. Le psychothérapeute fait du rafistolage avec les morceaux cassées, moi je me contente de revenir en arrière.
    - Personne ne peu revenir en arrière. Ai-je affirmé
    - Et si c'était possible, le voudriez vous ? Voudriez-vous que Sarah ressuscite ?
    - Je me vois dans l'obligation de vous dire que personne ne peu ressusciter.
    - Vous oubliez Jesus.
    - Jésus ne compte pas !
    - Soit! Mais pensez y un instant : Sarah de nouveau vivante, quittant la pénombre pour revenir vers la lumière. Réfléchissais y, vous qui vous qualifié d'homme mort, vous qui vous êtes fait prendre par la morosité de la vie. Ne serait-ce pas inouïe que Sarah vous revienne ? Vous pourrez continuer votre vie à deux, aller visiter le Jardin de Boboli et le Ponte Vecchio. Imaginez vous, quittant à jamais vos vêtements noir symbole de votre deuil. De quel deuil parlons nous ? Sarah est ressuscité et vous pouvez désormais remettre des habits colorés. Sincèrement projetez vous dans cette éventuelle réalité, vous deux, main dans la main avec trois  enfants fantastiques, deux garçon et une fille. Croyez moi, si Sarah ressuscite vous ne trouverez plus jamais de points commun entre la chaleur humaine et le café.
    - L'idée est plus que séduisante. Bien sur que j'aimerai que Sarah revienne, bien sur que j'aimerai que les choses se soient déroulées autrement. Alors pour répondre à votre première question, oui ! Si c'était possible,  j'aimerai qu'elle revienne sur terre, qui ne le voudrait pas ?
    - Un fou refuserait. Mais vous n'êtes pas fou Lucas, et moi non plus. Je remarque que je ne me suis pas présenté, et moi qui vous sert des boniments sur mon amour de la politesse, pardonnez cette sauvagerie de ma part. L'inconnu semblait véritablement agacé de son manque de convenances, il s'avançât de quelques pas vers moi et il me tendit une main osseuse. Je l'ai regardé pendant quelques secondes et il m'a sourit de nouveau, révélant de la sorte une rangée de dents impeccables. Je sentais que si je lui serrai la main, les choses allaient empirer. Si l'inconnu m'avait tout d'abord parut sympathique, je lui trouvais en cet instant des airs réellement inquiétants. Mais je ne sais pourquoi, je me sentais absorber par lui, je ne pouvais pas partir en courant comme je le désirais, je n'étais plus maitre de mon corps. Le charme surnaturel de l'individu semblait me chuchoter que je n'avais rien à perdre, que ce n'était qu'une poignée de main de présentation qui s'en suiverai par un au revoir poli. Nos deux mains sont rentrées en contact :

    - Je m'appelle Lucci Fheree. Je suis ravi d'avoir bavardé un peu avec vous, mais l'heure tourne et j'ai d'autres rendez-vous. Au plaisir de vous revoir Lucas.
     Je l'ai suivi du regard, il s'éloignait en fredonnant un air qui m'était inconnu. Je n'allais pas tarder non plus, la nuit allait commencer à tomber.
    -Lucas ? A appelé une voix derrière moi.
    J'ai sursauté, cette voix m'était familière. Je la connaissais que trop bien. C'était impossible. Je n'ai pas osé croire ce que je pensais, malgré tout, je me suis lentement retourné :
    C'était elle, mon amour défunt. Elle avançait vers moi d'une démarche souple.
     Elle répéta"Lucas ?", et petit à petit nos lèvres se retrouvent, et je me suis souvenu de comment je l'avais aimé, sans rancoeur sans égoïsme. Je me suis dit que je l'aimais encore, plus qu'avant, mieux qu'avant, qu'on avait désormais l'éternité devant nous, mais quand on est amoureux, l'éternité ce n'est pas assez. Sarah dit de nouveau :
    - Lucas ?
    - Oui, c'est moi ai-je répondu.
    - Lucas ? Lucas ?
    - Que se passe-il Sarah ?
    -Lucas ?
    Il y avait un problème!  Lucci avait vraisemblablement la possibilité de ressusciter les morts, mais il avait dût se tromper quelque part. Sarah n'arrête pas de répéter mon prénom en continu tel un vieux cd rayé. Elle disait de plus en plus fort mon prénom, presque agressivement, et ce regard. Mon Dieu son regard n'appartenait plus au monde des hommes, ses pupilles étaient blanches. Sarah semblait vide. Oui, une simple coquille vide incapable de dire autre chose que "Lucas?". J'ai paniqué, et j'ai dit précipitamment :
    - Je…Attends un instant Sarah, il faut que j'aille chercher quelqu'un.
    Je suis parti en courant à la recherche de Lucci. Au loin j'entendais Sarah dire" Lucas ? Lucas ? ". Vite, par ou était-il partit déjà ? Ha oui ! En direction du parking.
    Le voilà ! Lucci est là, je le vois qui sort ses clés de voiture, il les introduit à l'intérieur de la serrure. Non! J'arrive trop tard, il passe à ma hauteur avec son véhicule en m'adressant un sourire carnassier. Je devins blême, et fît une grimace horrifié en regardant la voiture de  Lucci Fheree défiler au loin.
    Une Citroën C3 jaune.

     

     

    Lucifer

    HUMOUR !

    Bon ce long et pénible texte que vous avez très probablement pas lu, est un devoir pour mon école. Je n'ai jamais passé autant de temps sur un devoir de Français. Pire que cela, je n'ai jamais mis autant de temps pour écrire trois minable pages. J'ai crût que j'allais jamais m'en sortir. Déjà j'ai commencé à écrire par le milieu. Et bien oui, soyons logique, on commence toujours une histoire par le milieu... Puis après on se démerde pour créer un début et une fin.

    Quoi qu'il en soit merci aux quelques personnes qui ont pris le temps de lire et qui m'ont dit ce qui allait n'allait pas et tout et tout.

     


  • Commentaires

    1
    Fuwa-Pachi Profil de Fuwa-Pachi
    Samedi 29 Septembre 2012 à 19:09

    J'aime bien même s'il y a des erreurs qui me sautent aux yeux, je vais pas en faire le listing, j'pense qu'en te relisant tu les trouvera par toi même.

    Et la dernière phrase sonne pas vraiment comme une fin de texte, j'imagine donc qu'il y aura une suite ?

    2
    Mlle.Steiner Profil de Mlle.Steiner
    Samedi 29 Septembre 2012 à 19:23

    Il faut tout de même pas oublier que je suis dyslexique hein... xD

    Et oui, c'est absolument pas la fin de texte don't panic. Merci d'avoir lu

    3
    Fuwa-Pachi Profil de Fuwa-Pachi
    Dimanche 30 Septembre 2012 à 15:45

    C'est vache de s'arrêter comme ça XD.
    J'voulais savoir ce que Lucci allait répondre concernant le fait que Sarah répéte tout le temps "Lucas" :O.

    M'enfin soit, encore un bon texte, good Job ! :3

    4
    Sukimaru Profil de Sukimaru
    Dimanche 30 Septembre 2012 à 21:26

    Joli texte plaisant à lire !

    La chute est excellente ! Elle peut encore gagner en intensité en démarquant les dernières phrases du texte par un retrait à la ligne et en mettant un point au lieu des deux points précédents les mots finaux de ton histoire, par exemple...! À voir !

    Si tu arrives à corriger toutes tes fautes, alors ce sera un texte parfait !

    5
    Mlle.Steiner Profil de Mlle.Steiner
    Dimanche 30 Septembre 2012 à 21:35

    Y'a encore des fautes ? T___T j'ai pourtant fait corriger. Ou sont elles ? Merci Suki

    6
    Mlle.Steiner Profil de Mlle.Steiner
    Dimanche 30 Septembre 2012 à 21:39

    J'ignore si tu repasseras, mais tu pensais à un retrait de la sorte ?

    7
    Sukimaru Profil de Sukimaru
    Lundi 1er Octobre 2012 à 21:09

    Euh, là bien moins, y'a eu du remaniement...!

    Je n'ai pas le temps en semaine, mais déjà juste comme ça en regardant le texte diagonalement, j'ai vu deux petites fautes ici, quelque part vers la fin du texte :

    • " J'ai sursauté, cette voix m'était familière. Je l'a connaissais que trop bien. C'était impossible. Je n'ai pas osé croire ce que je pensais, malgrés tout, je me suis lentement retourné "

    Le "l'a connaissais" devrait s'écrire "la connaissais", et "malgré" ne prend pas de "s".

    Et là aussi, vers le milieu cette fois :

    • " Je ne la connaissais pas encore mais je l'aimais déjà, j'ai pris mon courage à deux mains et  je suis aller la voir "

    "aller" devrait ici s'écrire "allé" et tu peux retirer l'espace de trop avant le "je suis"...!

    Mais bon, c'est déjà très bien comme ça ! En plus avec la petite photo et le retrait à la ligne pour la chute, ça pète x).

    Si tu veux vraiment, j'essaierai de relire ton texte le week-end prochain et de te signaler si je vois des fautes, mais ça voudrait dire que ton travail n'est pas pour cette semaine, et là je n'en sais rien ><...!

     

    Bref, beau texte mine de rien dans un style que je raffole : une histoire mystérieuse (où l'on ne sait pas trop quelle en est la finalité) avec une fin abrupte.

     

    8
    Mlle.Steiner Profil de Mlle.Steiner
    Lundi 1er Octobre 2012 à 21:30

    Merci Suki, pas la peine de te prendre plus la tête, je dois le rendre demain matin ^^. Mais bon, la prof fera avec les fautes (enfin j'espère...). Thanks!

    Bonne chance pour tes révisions et tout en médecine, je compatis xD!

    9
    Sukimaru Profil de Sukimaru
    Lundi 1er Octobre 2012 à 21:49

    Eh bien, bonne chance à toi avec ton texte ! T'inquiète, tu vas l'impressionner ;D !

     

    Merci pour tes encouragements...! Je n'ai pas été productif aujourd'hui, et je le suis d'autant moins à diviser mon temps ce soir entre cours de biologie moléculaire et les blogs, mais bon, on va dire qu'aujourd'hui était une exception ! x)

    10
    Mlle.Steiner Profil de Mlle.Steiner
    Jeudi 4 Octobre 2012 à 19:31

    Aie, désolé si je t'ai retardé dans tes cours/révisions... Ça à l'air passionnant :O !

    11
    Sukimaru Profil de Sukimaru
    Jeudi 4 Octobre 2012 à 20:56

    Ah non, ce n'est pas toi qui me retarde, loin de là...! C'est moi qui me retarde tout seul par flemmardise x).

    Passionnant... Mouais. Ca dépend quoi. Quand y'a trop de choses, ça le devient exponentiellement moins x).

    Préviens-nous donc quand tu auras reçu ta note et/ou les commentaires de ta prof...! ;)

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