• De rage, je lui aurait volontiers éclaté le visage sur le mur.

    Une fois, deux fois, peut-être même que trois fois n'aurait pas suffis à me calmer

    Il faut se dire que les malentendus sont féconds. Il ne faut pas les mépriser.


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  • Le temps Stéphanois ne fait jamais les choses à motier. Il y a tout d'abord ce temps gris qui vous déprime, arrive ensuite la pluie et pour finir, une fois que cette dernière est partie, le brouillard pénètre la ville pour plonger Saint-Etienne dans une ambiance angoissante, à la Sleepy Hollow.

    Je pourrais parler pendant des heures de ce brouillard, qui arrive lentement, presque avec vigilance. Ce brouillard épais qui doucement vient s'envelopper autours de vous, consument ce que vous êtes. Vous disparaissez peu à peu dans cette brume grisonnante. L'amertume monte en vous et soudain, vous n'êtes plus rien.

     

     

    Si vous craignez la solitude, ne vous mariez pas !


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  • Le petit truc fait ci dessus c'est pour tester des brushes... Et aussi parce que j'ai la flemme de dessiner.


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  • Parfois pendant la nuit, alors que je suis en train de dormir, je me réveil d'un coup, d'un seul. Je suis à motié endormi, souvent je crois même que je rêve. Dans ces rares moments, je me vois tirer ma chaise et m'asseoir dessus. Rien d'extraordinaire me direz- vous. Je me vois également prendre un stylo, écrire je ne sais quoi, et puis je retourne me coucher comme si rien ne c'était passé. A mon réveil, je me souviens m'être levé, mais je ne sais plus si c'est réel ou pas. Je découvre vite que c'est réel quand je retrouve un petit texte inscrit sur mon carnet à croquis.

    Le voici :

     

    Le seul truc qu'elle ne pouvait pas contrôler, c'était mon visage. Un jour, alors que l'amertume me rongeait lentement, je lui ai dit : "Vous n'avez encore aucune autorité sur mes expressions faciale, au moins un truc que l'immondité que vous êtes ne peu contrôler."

    Mais peut-être qu'en fin de compte, l'immondité, c'était moi. Loin d'être un modèle de droiture, je sentais tout de même que je faisais tout de travers. D'ailleurs, elle m'a retorqué avec un humour insolent, que j'avais bien besoin d'études de droit... Pour rentrer dans le droit chemin disait-elle.

     

     


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  • Insomnies

    Acte.2

    Non je plaisante... Enfin pour le "acte.2". Je ne dors pas, ou peu au choix. Hum les belles crevasses que j'ai sous les yeux, c'est terriblement sexy. Dans un sens je suis heureuse que se soit la mode des zombies, car je ressemble en rien à un être humain qui dors 8h par jour. Ou plutôt devrais-je dire :"je ne ressemble en rien à un être humain".

    Bon je dis un peu n'importe quoi parce-que je suis fatigué (si, si) mais je n'arrive pas à m'endormir. Et demain le réveil sonne à 5h du matin pour réviser un délicieux DS d'histoire de l'art. Oui, j'ai bien dit 5h. J'en arrive presque à regretter cette époque ou j'en avais rien à faire des cours, et ou un 0/20 n'était jamais rien d'autre qu'une inscriptions gribouillé dans le coin droit de ma copie. Un genre de dessin auquel mes anciens camarades de classe accordé de l'importance. Je suis comme eux maintenant, et eux, plus comme le "moi" d'avant. Légèrement ceci dit.

    Le manque de sommeil n'a rien de drôle, même si je passe sous silence l'aspect négligé qu'il peut donner. Car oui, outre ce fait, on a l'impression de vivre dans une sorte de rêve éveillé... Sauf que c'est moins délicieux qu'un rêve.

    Je me souviens d'un cours, en fin de journée, ou la fatigue accumulé au fil de la semaine m'est retombé dessus, comme ça, sans prévenir, sans crier gare. La voix de l'enseignante s'est mise à raisonner, ses mouvements sont devenues saccadés, et mes camarades de classes semble tanguer de droite à gauche et se déformaient. Le moindre chuchotement faisait écho dans la salle, les voix prenaient une tournure iréelle et dans ce schéma fantasmagorique, je me rends compte à quel point le sommeil est précieux, j'aurais donné n'importe quoi pour une minute dans les bras de Morphée. J'aurais donné n'importe quoi pour quitter le cours et son allure de cauchemar. Le pire fût quand l'enseignante me posa une question. J'avais l'impression que tout tourné autours de moi, que la prof venait de m'hurler dessus, et que mes camarades me regardaient avec un peu trop d'insistance à mon goût. Je réponds à la question sur la défensive, ce qu'on fait souvent quand on se fait agresser. Sauf que l'enseignante en question m'a juste demandé :

    - Mlle, vous vous souvenez de qui a inventé l'anthropomètrie judiciare ?

    - NON !

    Quoi qu'il en soit il est 3h00 du matin, je n'arrive pas à dormir et je me lève à 5h00 pour réviser. Je vais certainement être de chouette humeur. J'ai trouvé pour l'instant aucun produit qui m'aide à dormir... Et je n'ose pas essayer les somnifères, de peur de plus pouvoir m'en passer pour trouver le sommeil... Alalala.

     

     

     


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