• "Le 23 Février 3001 eu lieu une grande révolution qui mit fins à des années de tyrannie et d'oppression sur la caste opprimé et décrédibiliser:" Les imbéciles". Mais bien avant cette révolution,les imbéciles étaient pointer du doigt. Il est sans doute difficile pour vous de réaliser à quel point des millénaires auparavant ,on vous aurez jeté des pierres pour la seule cause que votre cerveau et votre réflexion sont moins développez que les autres." Mlle.Roseau leva les yeux de son livre, vérifiant que ses trentes trois élèves soit attentif. Ils avaient tous l'air d'écouter, mais plus par mollesse que par intérêt. L'institutrice reprit sa lecture: " La caste, qui jadis nous étaient supérieurs, vanté toutes les machines qu'ils avaient construit et qui nécessité des calculs rigoureux ,donc de la logique, qui à l'époque était synonyme d'intelligence, que nous , gens imbéciles n'avons pas ." Mlle.Roseau donna la parole à un élève qui demander la parole . Elle en profita pour réajuste son tailleur noir, et remettre sa mèche de cheveux qui l'empêcher d'être attentif .

    - Madame Roseau est-ce que les gens intelligent avaient un ...Dieu ? Demanda un enfant de petite taille à la chevelure rousse.

    - Mademoiselle.Roseau Tristian , Mademoiselle je n'ai que trente sept ans . Et pour répondre à ta question : OUI! Les Intelligents avaient un dieu il s'appelait Albert Einstein, il a créer des objets qui de nos jours n'existe plus tel le Voltemètre ( quelques élèves rigolent) ,le Réfrigérateur ( la totalité de la classe éclate de rire ) , il publiera sa théorie de la gravitation ( hilarité général). L'institutrice attend que le calme se fasse et reprend:

    - Mais Albert Einstein est aussi le doux inventeur de la Bombe Atomique. Un frisson envahi la pièce, les enfants ne pipé plus tandis que Mlle.Roseau affichait une mine grave . Thomas , garçon à la chevelure brune et aux airs sombre dit:

    - Il devrait être notre modèle, un modèle d'imbécilité . Mlle.Roseau mit un léger temps à comprendre et elle émet un léger rire qui tirait sa sonorité dans les aiguës .

    - A ce niveau là sans doute, mais pas pour le reste . L'un de vous sait-il comment les Intelligents ont été et sont encore éradiquer du monde ? Il y eu des regards apeuré , l'institutrice affichait un sourire légèrement sarcastique .

    -Oui Daniel ? Fit-elle

    - On les tuent ? Demanda l'élève hésitant .

    - C'est un bon début oui, mais sais-tu comment ? Il fit signe que non . La classe ne disaient plus rien, non pas que l'intérêt était au beau fixe, mais le visage de la professeur indiquer que la révélation allé être demander en contrôle .

    - Avez-vous déjà entendue parler de la Lobotomie ? Silence . L'institutrice repris :

    - La lobotomie est une opération chirurgicale qui consiste à vous faire un trou dans le crâne,et ça vous rend plus qu'imbécile. Il y a quelques rires .

    - N'est-ce pas un peu ... Injuste? Risqua Thomas . Mlle.Roseau pinça les lèvres et dit:

    - Le monde est bourré d'injustice mon petit Thomas, tu es trop jeune pour le comprendre . N'était-ce pas injuste de ce moquer des Imbéciles ? N'était-ce pas injuste de ne pas les prendre aux sérieux ? Si! Sa l'était. Alors nous autres les Imbéciles ne faisons qu'appliqué la lois du Talion: Œil pour œil dent pour dent . L'institutrice tortilla ses cheveux en signe de nervosité .

    - Mais n'est-ce pas un peu excessif comme réaction , certes des siècles d'oppression, mais en échange on les rends pires qu'imbéciles. Thomas prenait un air détendue ce qui ne fit qu'accélérer la rage de Mlle.Roseau qui tirait de plus en plus fort sur ses cheveux .

    - On ne récolte que ce qu'on sème . S'écria Mlle.Roseau - Dans si les lobotomisés se révolte , même si ça me parait dur, il faudra s'attendre au pire . L'institutrice eu un petit air choqué :

    - Voilà une remarque très intelligente . Dit-elle en faisant éclaté de rire toute la classe (sauf Thomas) car il s'agissait là d'une insulte . Sincèrement Thomas, tu pense vraiment ce que tu dis ? N'a tu pas de pitier pour tes semblables qui ont était si si ... Enfin fait attention à tes propos, n'oublie pas que si on détecte un Intelligent ,il passe à la lobotomie . Ajoute Mlle.Roseau L'élève eu un léger frisson et demanda :

    - Mais comment sait-on quand un sujet est qualifié d'Intelligent ? L'institutrice relâcha sa mèche de cheveux

    - Quand ils posent pleins de question comme toi . - Et dite moi Madame Roseau ,personne ne confond l'intelligence avec la curiosité ? Demande Thomas

    - Mademoiselle , Thomas, Mademoiselle , et non , personne ne se trompe .

    - Comment est-ce possible? demanda Thomas L'enfant et l'adulte s'investissaient tellement dans leurs discussions , qu'ils ne semblaient plus se soucié des autres élèves .

    - Parce que pour qu'une personne soit accusé il y a un vote à main lever ,et la majorité à raison . Thomas répondit l'air malicieux :

    - La majorité a toujours tort. Parce qu'elle est composée d'imbéciles. La minorité aussi est composée d'imbéciles. Mais ils sont moins nombreux.


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  • Putain , coup d'oeil sur mon emploie du temps  de cette semaine , ça va être du chargé ...Rien que trois DS demain .

    Je suis en train d'écrire une petite nouvelle , je la posterai sans doute Jeudi si le temps me le permet ( de toute façon il n'a pas le choix ce connard...La politesse est d'or , bien sur ) .

    Je vais me remettre au dessin sérieusement, non parce que ces derniers temps c'était un peu laxiste laxiste tout cela .

     


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  • Ici Mlle.Steiner ( Mais c'est vraiment à chiez comme pseudonyme XD!)

    Je passe juste trois minutes. J'aimerai déposer mes craintes et mes peines ici , mais c'est balot, je n'en  ai pas. Tiens ça me fait pensé à la semaine dernière en math ,je n'avais qu'une envie me suicider en me jettant du 4e étages de mon lycée . Le problème voyez vous, c'est qu'il faut non seulement lever son cul de sa chaise mais en plus ouvrir la fenètre. Et ci ce n'était que ça , il faudrait en plus que je lève les jambes pour aller sur le rebord de la fenètre . Alors moi je dis non : Non!

    Après mainte réfléxion, ma vie ne tiens qu'a la flemme ( et non à un fil ). Si il n'y a plus de flemme je suis morte . Je me demande si les flemmards sont de bon vivant .

    Je plaisante hein , je ne suis pas du tout suicidaire( non mais soyons clair, j'ai un humour spécial, mais ...Je plaisante !).

    Actuellement, je déscenderai bien les escaliers pour aller me faire chauffer un chocolat chaud , me faire des tartines de Nutella sur du pain de mie, remonter au passages les yaourts et toutes les merdes qui traines dans mon logement .Ensuite j'aimerai remonter les escaliers sans renverser ma boisson chaude ( chose quasiment imposible ) me mettre sous la couette ( et non me foutre sous la couette, non mais la différence n'es pas que languagière ...) regarder un film que j'ai regarder un milliards de fois et qui me fait pleurer à tout les coups genre :"The Brother Bloom" .

    Mais non . Déjà parce que j'ai la flemme de déscendre de sortir le lait du frigo, la tasse du placard, de dévisser le pot de nutella et tout et cie . Du coup je me demande si je ne vais pas éteindre mon ordinateur et lire mes psychologies, ou bien lire mes livres sur la psychologies . Je peu aussi regarder la téloche, relire mes 56 One piece, ou faire des mouvements de Kendo pour m'entrainer . Je pourrais faire pleins de truc ...Même tuer un lapin albinos atteint du complexe d'Oedipe .( Adam n'a pas souffert du complexe d'Oedipe ) .

    Tout à l'heure on me demander ce qu'était pour moi, le summum de l'impolitesse .

    Etrange question, pour moi, le summum de l'impolitesse ,ce serai de ne pas conclure un texte .Accueil

    Dessin de moi, fait par moi . Il date d'un an .


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  • Je suis dans l'eau. Je tombe. Je me dirige dans les abîmes de l'Océan . Je vois le soleil flouté. Je souris .
     Je sombre lentement mais surement . La lumière s'en va. Il fait noir .Je crois que j'ai peur, je viens de m'en rendre compte, mais je ne peu pas respirer .J'ai toucher le fond , au sens propre et au sens figuré . Je ne vois plus rien, l'océan ne me semble plus magistrale .
    J'aimerai hurler, mais je ne peu pas. J'aimerai poussé sur mes jambes pour remonter à la surface . mais je ne peu pas. Il y a des choses autours de moi. Je n'ai plus d'air , je panique . L'eau pénètre mes poumons . La mort, elle arrive, elle arrive paisiblement .Pour elle tout semble naturel , pour moi c'est une première .
    J'entends un chant,un chant de défunt . Malgré l'eau j'hurle:
    -On ne m'a pas appris à vivre , apprenez moi au moins à mourir ,je vous en supplie .
    Pas de réponse.Rien, juste des chants qui semblaient s'amuser de ma terreur.
    J'ai fermer les yeux me laissant bercer, la vie me quitter:
    - Ma fille, personne ne peu t'apprendre à vivre, la vie est personnel.
    Chacun la voit différemment ,tu aurais du te faire ta propre opinion .
    Croit-tu qu'on explique l'instinct aux animaux ? La voix était suave.
    Je suis morte dans les profondeurs de l'Océan, si grand, si beau, si bleu , si sombre si....
    Et je me suis réveiller en sursaut .

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    Peinture de ....Mlle.Steiner ( il me semble que c'est moi XD)


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  • Chapitre 3








    La meilleur façon que j'avais trouver pour faire réfléchir les humains c'était de tuer une famille de sept personnes en les forçant à ce pendre (j'avais du tuer le mari moi même , de peur qu'il ce rebelle ) .J'ai eu une légère boule dans la gorge en voyant les corps vaciller dans le vide . Mais je n'ai pas regretter pour autant . Je me suis allonger sous les cadavres flottant , me demandant si sa faisais si mal que me le confirmer leurs visages . 
    -Quand même , quel exagération de la souffrance . Ai-je murmurer ,ne peut-on pas mourir en silence ? Non ? Les gens ce sentent-ils  obliger  d'être bruyant jusqu'a la fin ? Pensent-ils que leurs souffrance sera moins douloureuse en lançant une série de cris  ? Peut-être est-ce la façon des condamner de s'exprimer , tout comme je le fais en les tuants .
    Puis par pitier, toutes ces plaintes, ces supplications sont-elles obliger ?  La mère par exemple, elle est monté sur l'escabeau en m'implorant, ces larmes ruissolait sur son visage rougis, elle a eu du mal à sauter . C'est fou ça, ce n'est qu'un petit pas, comme si on marchait , un petit pas de rien du tout .
    - Un pas funèbre m'a t-elle dit en bégaiant . Puis elle est passé de l'autre côté . Je me suis relever, un peu engourdi, mais pas dépasser par les émotions . J'ai commencer à peindre Deborah, la mère des enfants . J'y ai passer du temps, un temps fou, elle devait ressembler à un arbre, l'écorce devait être réaliste . Ce sont mes crampes aux doigts qui m'ont fait réaliser , que nous étions le matin, et qu'il était temps que je déguerpisse .

    Dehors il faisait froid, mais je ne pouvais m'empêcher de tout trouver beau . Peut-être que tout l'était . Même le sdf frigorifié et mort de faim était beau. Tout me semblait parfait, la fraicheur  dans l'air, la ville qui s'éveillait lentement , les arbres enneigés .Je fut pris d'un amour soudain pour tout ce qui m'entourer . J'étais amoureux de la vie , ivre de bonheur. Je riai. Je riai de mon état et penser que je riai de mon état me faisais rire . Mes jambes se sont mises à courir comme deux folles . Par malheur mon corps à suivi mes jambes, et ensemble, nous nous sommes dirigés dans une direction qui était inconnue de ma tête . Un pont . C'était la destination qu'avait choisis mes muscles. Je me suis assis sur la neige regardant le ciel . Pourquoi donc m'était-je arrêté ici ? Le pont était pour moi synonyme de suicide , de vide, d'abscence . Je n'aimais pas les ponts , quel erreur du genre humain, d'avoir créer une tel construction . Je sais d'avance que certains vont médire mes propos , après tout ,un pont permet de nous rendre d'un point A à un point Z .
    Pourtant , il n'est pas forcément utile de connaitre le point Z, car ne pas connaitre les choses, permet de mieux utiliser notre imagination . Avant le pont ,on pouvais s'imaginer que de l'autre côté , le monde était meilleur, qu'il exister sans doute des béstioles farfelu avec plusieurs têtes et une jambe de bois . Avant le pont tout ce qui relevait de l'imagination , n'était pas considerer comme impossible. C'était une nouvelle considération [répétition ]du réel : ce n'était pas parce que les choses n'étaient pas sous nos yeux, qu'elles n'existaient pas !L'arrivé du pont boulversa le genre humain, déjà il faut ce demander: mais qu'est-ce qui a pousser les gens à construire ce relieur de point ? Je n'en ai aucune idée , sans doute un esprit sous douer croyant être le contraire de ce qu'il était . Mais imaginez , le choc de la construction d'un pont , l'effondrement de l'imagination : ils avaient vu  . Ils n'avaient plus rien à immaginer,mais tout à construire .
    Alors oui , le pont n'était pour moi, rien d'autre qu'un briseur de rève , une destination trop préscise qui ne laisser pas le libre arbitre à l'imagination.


    Je me suis relever mon pantalon était mouiller par la neige , et la seule chose qui me semblait primordiale en ce moment  était un bon café. Il commençais à y avoir deux trois voitures qui circulait, elles ne pouvaient s'empêcher de ce klaxonner dessus .
    - De si bon matin et déjà en train de ce disputer , c'est lamentable . Ai-je dit la voix enrouer .
    Je n'aime pas l'hiver, je trouve cette saison  ridicule . Si dieu existe, il a dut créer l'hiver pour que nous ,humains , ayant une raison de nous plaindre :" les temps sont durs, il fait froid " .
    Je suis arriver devant ma demeure ,mon amour du monde n'était qu'un passager ephémère.
    Je montais inlassablement les marches d'escaliers . J'aurai facilement  atteind mon étage en trois minutes  si un jeune n'avait pas eu l'idée de me tomber dessus . Il a remit ses lunettes ,pris la main que je lui tendais
    << merci>> m'a t-il dit en reprenant son souffle . Il me regardait ,un peu confus sans doute .  Il m'a vaguement sourit puis a continuer son chemin tandis que j'entrais chez moi.

    Dans un premier temps mon état tirer sa source dans la pathologie aigue de la paranoia :  La terre entière semblait s'apercevoir ma culpabilité .  Pourtant au début, j'étais sur d'en éprouver aucune , j'étais aussi sur de ne pas être paranoiaque . Dans tout les livres ou films que j'avais pu voir,  jamais l'assassin ne semblait éprouver de remord , il était toujours sur de lui, il ne vivait pas dans la crainte d'être mis à jour .  Mon étât était navrant ,d'autant plus que mes sept cadavres mirent trois semaines pour être découvert . Ne me demander pas pourquoi autant de temps . Je l'ignore, peut-être que cette famille était mal aimer . Tuer quelqu'un vous emmène forcement à vous demandez si votre entourage sera aussi lent à la détente que la famille des défuns .

    Pourtant la parution dans le journal fut magistral ,phénoménal . On parlait de ma peinture , le journaliste y écrivait même une phrase qui me fit chaud au coeur :<< Une véritable forêt de défunt à voir absolument >> .  Le journaliste encourager les gens à voir mes oeuvres et indirectement il m'encourageait .  Son article fut scandale , trois jours plus tard la rédaction le remercia . Mais trop tard le mal était fait .
    Je ne pensais pas qu'on pouvait tirer son bonheur dans la misère d'autrui ;c'était un sentiment d'extase un étât de jouissance suprême . Ma satisfaction était si grande que je n'arrivai pas à l'exprimer autrement que par de grand sourire , mais je ne trouver pas ça suffisant, si bien que quand un de mes élèves me demanda :
    - Vous avez l'air heureux monsieur ?
    je lui ai rétorquer :
    - Oui, je le suis , mais c'est ineffable .

    Je sais, je passe un peu du coq à l'âne , et ça doit être dur pour vous de me suivre ( mais qui sait , si sa ce trouve l'âne et le coq sont peut-être intimement lier ) . D'ailleurs je m'en excuse, je ne raconte pas bien les histoires. Formuler ce que j'ai sur le coeur j'ai du mal, aller à l'escenciel des choses aussi . C'est dur pour moi d'avoir huit morts sur la conscience, dur d'en parler , de l'exprimer , de vraiment dire ce que je ressens. C'est peut-être pour ça que mon psychiatre m'a conseiller d'écrire pour que je vois les choses clairements, que ma confusion s'en aille . Les psychiatres sont des escrocs . Des escrocs qui ce font de l'argent en écoutant la misère des gens . Mon escroc à moi m'a conseiller d'écrire mon enfance .  Pourtant , je n'ai rien à dire sur l'enfance déplorable que j'ai eu . Non mon père ne me battais pas, non ma mère n'étais pas hystérique. Oui mes parents étaient normaux . Être plus normaux qu'eux en devenait anormal .Moi ? J'étais petit frèle, docile ,chétif . Le stéréotype du gamin mal dans sa peau . J'étais périmé . Je n'avais pas beaucoup d'ami ,du plus loin qu'il me semble,je n'en voulais pas, je n'étais pas un stupide philanthrope exhumant une bonne humeur vomissante . J'étais le petit garçon qui avait une aversion profonde pour le genre humain . D'ailleurs mes professeurs m'appeler Misanthrope, le peu de personne qui daigné s'interesser à moi m'appeller Misan .  Je n'étais pas un petit garçon violent, je ne me battais pas , peut-être que ma petite taille ne me le permettais pas . Quand je rentrais de l'école, mon gouter était déjà tout près ,ma mère m'acceuiller un sourire au lèvre hautant mon blouson et l'aggripant sur le porte manteau .Quant a mon père, il lisait le journal . Mes parents ne semblaient pas avoir de contact,il manquait ce "truc" qui faisait que les gens s'aiment .Mais ils semblaient heureux . Je manquai de rien,ni d'argent, de vêtements, de jouet. Je ne manquai pas d'amour paternel ni d'amour maternel . J'en avais trop ,même . Je n'en demandai pas tant, d'ailleur je n'ai rien demandais du tout . Ni l'étouffement que me témoignait mes parents,ni l'ingratitude que je leur offrais .
    Malheureux? Dans un certain sens [ répétition ]oui, je l'étais . Moi aussi je voulais avoir une raison de me plaindre. Donner un sens à mon comportement acariâtre. Or mes parents me priver de tout cela : je n'avais aucune raison d'être malheureux et cela m'en attristé [incohérent]. J'aurai presque supplier mon père de me frapper , de pouvoir arriver à l'école un bleu sur la joue, que les gens me plaignent . Quand on me donnait le rôle du martyr je prenais un plaisir malsain à me plaindre et à me faire plaindre.
    Lors de mes Onze ans, je me rappelle avoir lu un synopsis qui traitait sur un Bouc Emissaire professionnelle . Dès la fin de ma lécture , il me semble me souvenir avoir pensé quelque chose du genre :" j'encaisse alors que ce n'est pas ma faute, et je peu m'en lamenter". A bien y réfléchir ,j'étai idiot ,dire que je pensais qu'il me fallait une raison pour me plaindre . Or je ne dois rien à personne, le droit de me plaindre je l'ai autant que mon statut d'homme libre .
    C'est arriver à l'âge de l'adolescence que je pris conscience du droit de plainte que j'avais . J'étais en droit de me lamenter, sans aucune raison . C'était peut-être stupide, mais encore une fois c'était en mon droit . Je crois que c'est aussi vers l'adolescence qu'eu lieu mon premier crime .Enfin crime, de mon point de vue actuel, il n'en s'agissait pas vraiment d'un . Mais d'un point de vue de quinze ans , je prenais les choses avec gravité  ( quoi que ) .

    Pierrick était tendre, afféctueux , une brave bête poilu ,menu d'une sensibilité qu'on ne soupçonnerai pas à un chat. Il faisait preuve d'une grande écoute, attentif à toutes mes colères, toutes mes joies, mes émotions . C'était le genre d'ami, qui aurait pu être suceptible de m'interessait . Car oui, Pierrick n'était pas dérangeant, il écoutait, subissait, et ne répétait rien . Trois qualités qu'un ami ce doit d'avoir ( XD c'est horrible ce que je dis ) . Mais j'étais jaloux de Pierrick . Je sais, il est drôle d'imaginer qu'on puisse être jaloux d'un chat,ou d'un animal quelconque . Vous savez , ce n'était pas vraiment de ma faute, si la hache qui été destiné à trancher le bois, était à ma porter . Ce n'était vraiment de ma faute, si mon chat ce trouver dans les parages .  En fait, rien n'était de ma faute : la jalousie ne ce contrôle pas , et puis même , j'étais et suis quelqu'un qui trouve un peu étrange de vouloir renié ses sentiments, même les plus austère .
    Donc oui[ répétition ], j'ai trancher la tête de mon chat , avec un étrange sentiment de satisfaction. J'ai entererré son corps  .
    Ainsi donc tuer , entrainait chez moi la satisfaction . Ma mère a pleurer pendant longtemps , j'ai soudainement compris la gravité de mon acte . J'avais tuer . Certes, ce n'étais qu'un chat . Un félin à la fatuité paresseuse .  Mais tuer tout de même . Je savais que c'était mal ,ô oui je le savais .

    Par une malchance rationnel , mon père appris que le chat était mort par ma faute. Il le su car j'avais eu la stupidité de l'écrire, et il avait eu la stupidité d'entrer fouiller ma chambre . La confiance reigner . Je me reçus les claques les plus fortes de ma vie . La violence de ses coups me cassa le nez . Il exprimait une rage inquiètante . J'eu peur . Je saignais ,lui prenait un malin plaisir à me punir . Il m'a laisser seul, dans ma chambre, m'enfermant à clef.
    Dès cet instant, mon père changa . Il n'était plus l'homme un peu bourru ,il était désormais doté d'une stupidité colérique .C'est à dire qu'il soutenait des propos incohérent, en cassant tout les objets du patrimoine familial, si quelqu'un avait la mauvaise idée de le contredire .

    [ Tout est incohérent: à refaire !]Oui, il est vrai que dès cette période de ma vie, j'aurai pu me plaindre , supplier les autres de me plaindre . Mais je ne le faisais pas, mon père ne s'en prenait qu'aux objets ô combien précieux, mais pas à moi ni à ma mère .
    Dès la mort de Pierrick , ma mère m'a detesté , pas au point de ne plus me considérer comme son fils,mais elle était inlassablement décus. Ce que j'avais fais était grave, mais pas tant que ça tout de même ! Un chat, ce n'était qu'un chat. Un être inférieur, un être qui m'était inférieur . Non pas qu'il faut supprimer l'infériorité , mais aller donc tuer un homme politique ou un érudit, un être supérieur, vous verrez alors que l'affaire fera polémique-prendra une ampleur phénoménale. Maintenant allez tuer un vulgaire clochard,les choses ce dérouleront plus légéremenent qu'avec la mort d'un politicien . Alors je trouvais injuste que ma mère m'en veuille comme si j'avais assassiner quelqu'un d'important .

    A seize ans j'ai commencé à me mettre à la peinture, je me doute que cela anime en vous une indifférence colossale . Mais que voulez vous ? C'est mon psychiatre qui à exigé un récit de moi, de ma vie .Il aura donc sur sa table un best-seller , autant qu'il ne s'ennui pas lors de sa lécture . 
    A dix-sept ans, j'étais interessé par le body art, déjà à cette époque, il planait dans ma tête un brouillard neurologique . Parce que oui .OUI! Je suis fou .En réaliter je ne pense pas que je suis atteint d'une quelconque folie, mais je met une énergie chaotique à m'en convaincre. Car si je ne suis pas fou , pourquoi est-ce que je fais ce que je fais [ changer phrase ] ? Mieux vaut ce dire qu'on est un grand malade mental, au moins sa justifie quelques choses.  Outre ma folie inexistante, j'égorgais des poulets , les déplumés et les enduisait de peinture . Une fois je m'étais dit face à un volatile :
    -" comme quoi ils peuvent être beau , comme quoi l'homme fut créer pour embellir les choses et les rendres utiles". Dans un certain sens mon coq devenait utile;au regard, à mon regard,il m'émouvait. Je me demande pourquoi j'ai toujours préféré la chair au papier , sans doute est-ce une question de texture  et d'adrenaline .

    AccueilOui je ne met pas les chapitres dans l'ordre ...Mais j'ai mes raisons .


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